Sandor Ferenczi (1873-1933) a été à l’origine d’idées nouvelles sur la régression, le transfert, le traumatisme et la pratique analytique. Son œuvre fait émerger des questions cliniques essentielles toujours acuelles. Elle nous confronte aux impensés à l’origine de la psychanalyse.
Hélène Oppenheim-Gluckman nous convie à une lecture de l’œuvre de Ferenczi qui retrace l’évolution de sa pensée et les questions cliniques qu’il travaille sans relache. Elle examine avec précisions les enjeux des controverses entre Freud et Ferenczi.

Hélène Oppenheim-Gluckman, psychiatre et psychanalyste, docteur en sciences humaines cliniques, est membre de la Société de psychanalyse freudienne et chercheur associé à l’unité Inserm U 669. Elle a publié : Mémoire de l’absence, clinique psychanalytique des réveils de coma, Paris, Masson, 1996 ; La Pensée naufragée, clinique psychopathologique des patients cérébro-lésés, Anthropos, 2006 ; (avec Daniel Oppenheim) Héritiers de l’exil et de la Shoah, entretiens avec des petits-enfants de Juifs venus de Pologne en France, Érès, 2006 ; Lire Michael Balint, un clinicien pragmatique, CampagnePremière, 2006.


Parution : 17 novembre 2010
ISBN : 9782915789621
Pagination : 142 pages
Prix : 16 €