Par Mireille Fognini, dans Le Coq-Héron n° 205, 2011/2.

« L’auteur s’est ici engagé avec une passion manifeste et militante dans le développement d’une réflexion rigoureuse très argumentée sur la mutation notoire de la société et de la culture, depuis les camps d’extermination hitlériens et la bombe d’Hiroshima. L’après de ces événements a transmuté la vie et la pensée humaine. Peu de psychanalystes s’osent ainsi avec passion, à l’abord sociétal d’une souffrance innommable qui habite leur temps. »

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