Par Marine Esposito-Vegliante, dans Le Carnet PSY n° 131, 2008/9.

« Forte de sa filiation, de sa formation freudienne et lacanienne, l’auteure relie les textes freudiens des débuts de la psychanalyse, ceux “qui ont le féminin pour foyer lumineux”, à l’exploration par Freud “sans relâche du continent noir” – et ce tant au Freud chercheur, inventeur de la psychanalyse, qu’à l’homme Freud –, et tente de saisir dans ces questionnements eux-mêmes pris dans le transfert ce féminin, qui n’est pas la féminité et pas davantage le maternel, […] ce féminin “inventeur de la métaphore”, ce féminin “rencontre de soi et l’autre”. »

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