Par Françoise Baldé, dans la Revue d’éthique et de théologie morale n°263, 2011/1.
« La finesse des élaborations aussi bien cliniques que théoriques et la richesse de l’écriture sont les qualités premières de ce livre. C’est par là aussi que Sylvie Sesé-Léger nous entraîne dans la complexité et la polysémie de cette question du féminin. Elle montre ainsi qu’il n’y a pas, contrairement à ce que certains pensent, de manière univoque et définitive de le définir, en clôturant la question alors qu’il n’est question que d’ouverture et de créativité. Se pose ici la question du lien entre cet Autre féminin, tel que l’auteure le déploie, et la sublimation. »