Dans Cliniques méditerranéennes no 99, 2019/1
par Marjorie Roques

En ces temps de mutations, temps d’errance, d’inachèvement, de sujets en mal d’advenir et de subjectivité (Guyomard), La folie ordinaire arrive à point nommé pour soutenir un mouvement de pensée, là où l’ordinaire de la folie tend à l’étriquer. Ce recueil de textes orchestré par le professeur F. Pommier s’inscrit dans la continuité de ses travaux sur l’extrême présenté comme n’étant pas opposé à l’ordinaire.
[…] Nous retiendrons de ce riche ouvrage que le transfert et le sociétal modèlent indubitablement notre discernement et permettent de (re)considérer ce qui est ordinaire ou ne l’est pas. Sur la quatrième de couverture, il est écrit que « la folie ordinaire peut être vue à travers son reflet social, restant ordinaire tant que le regard de l’autre n’a pas pris acte du désordre dont elle est porteuse ».

On pourra lire le texte complet ici.