Par Marine Esposito Vegliante, dans Le Carnet PSY n° 136, 2009/5.

« La pertinence de ce livre commence avec son titre La Chine de la psychanalyse. Titre pris et à prendre à la lettre et à déployer dans tous les sens, à la fois axe de réflexion, de recherche, d’investigation et de questionnement autant que vision et formulation qui témoigne et inscrit une certaine conception de la dite psychanalyse, vivante, mobile, celle d’un savoir pas tout à fait comme les autres, jamais donnée de fait puisqu’elle engage autant celui par et avec lequel elle s’engage que celui qui s’y engage, et n’est opérante que dans un dispositif car “la psychanalyse est moins à saisir ici comme un état que comme un devenir” comme le souligne Philippe Porret. »

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