Par Anne Raulin, dans Cahiers internationaux de sociologie n° 127, 2009/2.

« C’est un ouvrage si foisonnant qu’il pourrait s’intituler “Les Chines de la psychanalyse” sans y perdre sa colonne signifiante fortement charpentée. Dans ce moment d’ouverture économique du pays, les initiatives se multiplient pour y transplanter ”la culture psychanalytique mondiale” issue de traditions nationales tant européennes qu’américaines, avec des colorations variées […]. Donnant toute la teneur de cette ébullition, Philippe Porret se concentre néanmoins sur ces Chines qui alimentent les échanges franco-chinois, celle qui fait rêver les Français, celle qui fait accourir les Chinois vers la psychanalyse française. […] On assiste ainsi à la mise en route d’un déplacement culturel d’une science humaine, théorique et clinique, née en Occident. »

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