Par Yves Lugrin, dans Le Coq-Héron n° 207, 2011/4.
« Vous y trouverez une excellente présentation de l’histoire de la psychanalyse telle qu’elle se déploie à partir du moment où Freud sort de son splendide isolement d’inventeur et se trouve exposé à une nouvelle tâche?: transmettre la psychanalyse à ceux qui l’approchent, dont Ferenczi. […] Cet ouvrage sait nous rendre Sándor Ferenczi étrangement proche et présent, analyste étrangement vivant et amical. »