Par Miren Arambourou, dans La Lettre de l’enfance et de l’adolescence n° 75, 2009/1.
« Dans ce livre, qui se lit presque comme un roman policier, Laura Dethiville nous propose de découvrir en sa compagnie l’œuvre du génial psychanalyste anglais que beaucoup croient connaître pour en avoir lu des articles, épars et parfois indigestes […]. Elle prend donc soin de redonner tout leur sens à des concepts tellement passés dans le langage commun qu’ils en ont perdu toute leur saveur […]. Si les théories de Winnicott ont souffert d’une vulgarisation hâtive, le parcours auquel nous invite ce livre rend à ses élaborations leur puissance dynamique d’une théorie toujours enracinée dans la clinique. Son langage clair le rend accessible à un public beaucoup plus vaste que celui des seuls psychanalystes. »