Dans Le Coq-héron 2016/4 (N° 227) par Pierre Sabourin

On peut ouvrir ce livre n’importe où, on trouvera toujours la pondération, la finesse et l’à-propos, dans les derniers textes comme dans les premiers, ceux de sa rencontre précoce avec l’univers naissant de la psychanalyse à Budapest, jusqu’à un dernier petit bijou publié au printemps 2015, dans la Revue canadienne de psychanalyse : « Comment l’esprit vient aux analystes ». C’était à l’occasion d’une conférence internationale sur Sándor Ferenczi à Toronto, en mai 2015, le thème était l’Héritage d’un esprit psychanalytique, centré de fait sur les textes ultimes de Ferenczi, ce qui a permis à Judith de ne pas rater l’occasion d’y participer tout en restant à Paris. Elle y écrit par exemple : « Aujourd’hui je continue à apprendre tous les jours. Chaque nouvelle personne que je rencontre donne lieu à une nouvelle expérience. L’expérience déjà acquise ne m’apporte aucune réponse, seulement la capacité de mieux me poser les questions. »

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