Nicole AUFFRET
8, rue Jacques Louvel Tessier
75010 Paris
06 66 06 46 05
Le 2e lundi du mois
à 20h30
Lieu précisé à la rentrée
1re réunion le 14 octobre
Puis à préciser
Le mouvement de l’élaboration théorique de mon expérience clinique s’ancre dans deux champs :
Celui des questions soulevées par la clinique de la psychose dans la fonction de psychologue dans un cadre asilaire en plein bouleversement : celui du passage de la conception du soin asilaire à celle de la politique de secteur.
Dans la fonction de psychologue (cette fois comme psychanalyste en formation) dans le cadre d’un secteur psychiatrique avec des médecins référés à la psychothérapie institutionnelle.
Puis
Dans le cadre de la pratique de la pensée analytique : l’analyse des transferts de la place de la psychanalyse.
Dans cette recherche, la pratique passionnée d’un art, la mise en pensée de ce que pouvait représenter cet art m’accompagnait. Son élaboration s’ancrait dans la lecture du livre du psychanalyste Pierre Legendre, La passion d’être un autre – essai sur la danse. Il y soulignait que, cet art était présent dans toutes les cultures, dans tous les rituels : de tout son corps, l’humain, dans les termes de Pierre Legendre, l’humain « croit » en celui auquel de tout son corps, il s’adresse. ». Dans ce mouvement, à la question : qu’est-ce que cet art apprend au psychanalyste ? Il répond : « le corps dans le langage ». Or, c’est la question soulevée par le corps non habité de la personne psychotique.
Dans la solitude du cabinet, c’est dire dans l’engagement dans le transfert je retrouvai cette question. Or, il ne s’agissait pas de psychose. S’ouvrit la nécessité de penser/élaborer l’articulation entre le rapport au monde et la manière d’habiter ou non son corps.
En d’autres termes, la question de « ce que parler veut dire », selon l’expression d’Henri Maldiney . Question qui, pour le psychanalyste, implique la nécessité de trouver les outils conceptuels pour élaborer ces transferts singuliers.
La métapsychologie Winnnicottienne dans cette élaboration prit et prend pour moi une place importante.
L’idée est donc que ce groupe puisse se faire lieu pour : à partir de l’expérience clinique de chacun des membres, soit mis au travail un texte parmi ceux qui furent des fondateurs et aussi ceux d’autres disciplines.
Celui des questions soulevées par la clinique de la psychose dans la fonction de psychologue dans un cadre asilaire en plein bouleversement : celui du passage de la conception du soin asilaire à celle de la politique de secteur.
Dans la fonction de psychologue (cette fois comme psychanalyste en formation) dans le cadre d’un secteur psychiatrique avec des médecins référés à la psychothérapie institutionnelle.
Puis
Dans le cadre de la pratique de la pensée analytique : l’analyse des transferts de la place de la psychanalyse.
Dans cette recherche, la pratique passionnée d’un art, la mise en pensée de ce que pouvait représenter cet art m’accompagnait. Son élaboration s’ancrait dans la lecture du livre du psychanalyste Pierre Legendre, La passion d’être un autre – essai sur la danse. Il y soulignait que, cet art était présent dans toutes les cultures, dans tous les rituels : de tout son corps, l’humain, dans les termes de Pierre Legendre, l’humain « croit » en celui auquel de tout son corps, il s’adresse. ». Dans ce mouvement, à la question : qu’est-ce que cet art apprend au psychanalyste ? Il répond : « le corps dans le langage ». Or, c’est la question soulevée par le corps non habité de la personne psychotique.
Dans la solitude du cabinet, c’est dire dans l’engagement dans le transfert je retrouvai cette question. Or, il ne s’agissait pas de psychose. S’ouvrit la nécessité de penser/élaborer l’articulation entre le rapport au monde et la manière d’habiter ou non son corps.
En d’autres termes, la question de « ce que parler veut dire », selon l’expression d’Henri Maldiney . Question qui, pour le psychanalyste, implique la nécessité de trouver les outils conceptuels pour élaborer ces transferts singuliers.
La métapsychologie Winnnicottienne dans cette élaboration prit et prend pour moi une place importante.
L’idée est donc que ce groupe puisse se faire lieu pour : à partir de l’expérience clinique de chacun des membres, soit mis au travail un texte parmi ceux qui furent des fondateurs et aussi ceux d’autres disciplines.
Pour s’inscrire, s’adresser à Nicole AUFFRET.