Par Miren Arambourou, dans Le Coq-Héron no 222, 2015/3.

« L’auteure ne nous dissimule en rien les difficultés que pose la lecture de Winnicott, avec ses fulgurances, ses incohérences, et son usage original – et originel – de la langue anglaise. Elle nous décrit finement une clinique vivante et n’hésite pas à l’actualiser en témoignant de sa propre pratique, tant les élaborations de ce thérapeute singulier restent vives et sources de créativité pour le clinicien qui accepte de s’en laisser entamer. »

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